La NRC recomienda un marco regulador híbrido para los sistemas de fusión

La Comisión Reguladora Nuclear de EE.UU. regulará los sistemas de energía de fusión en el marco de la materia derivada, en lugar de en el de los reactores nucleares. El objetivo de esta decisión es aportar seguridad normativa a los sistemas de fusión y garantizar su despliegue seguro y eficaz.

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La Comisión Reguladora Nuclear (NRC) de Estados Unidos ha anunciado planes para regular los sistemas de energía de fusión en un marco de materia derivada, en contraposición a un marco de reactor nuclear. Esto se produce mientras « docenas » de empresas trabajan en el desarrollo de modelos comerciales de fusión a escala piloto, algunos de los cuales se espera que alcancen la prueba de concepto y la producción neta de energía a mediados o finales de la década de 2020.

Los retos de la regulación de los sistemas de fusión

Los sistemas de fusión producen electricidad combinando átomos de hidrógeno para formar helio, lo que significa que no requieren material nuclear especial ni producen la reacción en cadena de neutrones autosostenida que define a los reactores nucleares de fisión. Por lo tanto, no están sujetos a los requisitos reglamentarios de la NRC como reactores nucleares.

El personal de la NRC presentó a principios de este año tres opciones sugeridas para la concesión de licencias y la regulación de los sistemas de fusión: la categorización como « instalaciones de uso » con un nuevo marco normativo desarrollado para abordar peligros específicos, un enfoque derivado que aumente la normativa existente para las licencias derivadas, o un marco híbrido. En su presentación, el personal recomendaba la adopción de un sistema híbrido.

El tritio y otros materiales radiactivos utilizados en los sistemas de fusión se clasifican normalmente como material derivado, y la NRC ordenó a su personal que creara un marco regulador para los sistemas de fusión basado en el proceso existente en la agencia para autorizar el uso de estos materiales.

Sistemas de fusión: una alternativa segura y limpia a los reactores de fisión nuclear

El Departamento de Energía de Estados Unidos ha asignado hasta 50 millones de dólares de fondos federales para apoyar la investigación experimental en la ciencia de la energía de fusión, como parte de la « visión a diez años » de la Administración para acelerar la energía de fusión. Actualmente se espera que algunos sistemas de fusión comerciales alcancen la prueba de concepto e incluso la producción neta de energía a mediados o finales de la década de 2020, y su despliegue está previsto para la década de 2030.

Helion Energy, empresa estadounidense que desarrolla sistemas de fusión, expresó su apoyo al anuncio de la NRC: « Este planteamiento ofrece una vía reglamentaria clara y eficaz para que nuestro equipo despliegue una energía de fusión limpia y segura.

De hecho, la Comisión Reguladora Nuclear de Estados Unidos (NRC) ha anunciado su intención de regular los sistemas de energía de fusión en el marco de los « spin-offs » en lugar de en el de los reactores nucleares, mientras que muchas empresas trabajan en el desarrollo de modelos de fusión comerciales a escala piloto.

El personal de la NRC ha recomendado un marco regulador híbrido para la concesión de licencias y la regulación de los sistemas de fusión, y el Departamento de Energía de EE.UU. ha asignado hasta 50 millones de dólares en fondos federales para apoyar la investigación experimental en la ciencia de la energía de fusión. Los sistemas de fusión producen electricidad mediante la combinación de átomos de hidrógeno para formar helio, sin implicar material nuclear especial ni producir la reacción en cadena de neutrones autosostenida asociada a los reactores de fisión nuclear.

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