Le Japon et les États-Unis s’accordent ainsi sur une étroite collaboration en matière technologie. L’occasion également pour Tokyo de rappeler l’importance d’investir dans les pays en voie de développement.
Le Japon et les États-Unis au diapason
En amont de la réunion de l’Agence internationale de l’énergie (IEA), le Japon et les États-Unis ont ainsi conclu un accord de coopération bilatérale en plusieurs domaines. Que ce soit en matière d’hydrogène d’ammoniac, de capture, utilisation et stockage du carbone (CCUS). Encore, en matière de recyclage du carbone et d’énergie nucléaire.
Cette collaboration intervient dans un contexte global de lutte contre le changement climatique. Également, de renforcement de la sécurité énergétique.
Coopération technologique
Les eux pays s’appuieront alors sur leurs technologies de pointe afin d’obtenir des résultats plus rapidement, moins cher et plus efficacement. Tokyo a subséquemment souligné l’importance de créer des innovations pour atteindre notamment la neutralité carbone.
Entraide internationale en matière de neutralité carbone
Le Japon profite ainsi de cette pré-réunion pour évoquer les voies vers la neutralité carbone. Koichi Hagiuda, ministre de l’économie, du commerce et de l’industrie du Japon, a ainsi déclaré que la neutralité carbone devra être abordée à l’échelle mondiale lors de la prochaine réunion de l’IEA.
Il ajoute que les pays développés devront fournir un effort supplémentaire pour aider les pays émergents à agir sur leur territoire.
Cette réunion ministérielle intervient donc à un moment où la sécurité énergétique apparaît comme un enjeu primordial. Tandis que la transition énergétique s’accélère.