L’entreprise opératrice de pipelines Energy Transfer (ET.N) soumet une demande de licence d’exportation accélérée pour son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) à Lake Charles, en Louisiane. Cette démarche est enregistrée auprès du Département de l’Énergie (DOE) américain. Le DOE avait ainsi refusé une extension de licence précédente en mai.
Demande de licence accélérée pour le projet de GNL Lake Charles
Energy Transfer (ET.N) demande une nouvelle licence d’exportation rapide pour son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) à Lake Charles, en Louisiane. Cette demande est faite en tant qu’opérateur de pipelines. Energy Transfer enregistre, en effet, cette démarche auprès du Département de l’Énergie des États-Unis (DOE). Elle fait suite au refus précédent d’une extension de licence pour l’entreprise. Cette dernière affirme alors ne pas pouvoir achever l’usine avant l’échéance de la licence actuelle en 2025 et espère obtenir une nouvelle licence d’ici le 19 février 2024 pour prolonger le projet de sept ans. L’entreprise a en effet cité des retards imprévus et l’ajout d’une composante de capture du carbone comme raisons de ce retard. Energy Transfer est un opérateur de pipelines de gaz naturel majeur aux États-Unis. Il possède des accords à long terme pour fournir une partie de la capacité de l’usine de GNL. Le projet est crucial pour des clients au Japon et en Corée du Sud. Commonwealth LNG, un concurrent, ne s’oppose pas à cette demande accélérée.
Projets de GNL aux États-Unis : Nouvelle demande d’exportation accélérée par Energy Transfer
L’entreprise Energy Transfer (ET.N), spécialisée dans les pipelines, a récemment formulé une demande accélérée pour une licence d’exportation concernant son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) à Lake Charles, en Louisiane. Le Département de l’Énergie des États-Unis (DOE) avait effectivement refusé une prolongation de licence à Energy Transfer. La société prévoit ainsi un retard dans la construction de l’usine et espère obtenir une nouvelle licence avant février 2024. Parmi les raisons du retard, des retards imprévus et l’intégration d’une composante de capture du carbone.
« Un retard dans l’approbation accélérée de cette demande entraînera probablement l’exercice de droits de résiliation dans les accords d’achat existants », a écrit Energy Transfer.
Energy Transfer demande une nouvelle licence d’exportation pour son projet GNL Lake Charles
Energy Transfer (ET.N), la société de pipelines, a sollicité une licence d’exportation accélérée pour son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) à Lake Charles, en Louisiane. Le Département de l’Énergie des États-Unis (DOE) avait refusé une extension de licence antérieure. Energy Transfer envisage une nouvelle échéance de 2024 pour achever le projet, invoquant des retards imprévus et l’ajout d’une technologie de capture de carbone. La société a souligné que le projet était crucial pour des clients japonais et sud-coréens. Commonwealth LNG, un concurrent, a déclaré ne pas s’opposer à l’accélération de cette demande.
Energy Transfer sollicite une licence accélérée pour le projet GNL Lake Charles
L’entreprise de pipelines Energy Transfer (ET.N) a demandé une nouvelle licence d’exportation rapide pour son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) à Lake Charles, en Louisiane. Après un refus d’extension de licence, Energy Transfer a attribué son retard à des facteurs imprévus et à l’ajout de la capture de carbone. La nouvelle licence serait ainsi octroyée avant février 2024, offrant sept années supplémentaires pour achever le projet crucial. Ce projet est essentiel pour des clients japonais et sud-coréens. Commonwealth LNG, un concurrent, ne s’oppose pas à cette démarche.
Commonwealth LNG se concentre sur son propre projet, a déclaré Lyle Hanna, vice-président. « Nous avançons sur notre projet et ce qui se passe entre le DOE et Energy Transfer ne nous concerne en rien », a ajouté Hanna.