Le Bangladesh bloque temporairement l’arbitrage international avec Adani Power, en attendant les conclusions d’un comité d’experts sur la régularité du contrat d’électricité signé avec le conglomérat indien.
La Commission européenne a validé une aide publique allemande de 1,75 milliard € ($2,03 milliards) destinée à compenser l’opérateur LEAG pour la fermeture anticipée de ses centrales à charbon d’ici 2038.
Séoul rejoint la Powering Past Coal Alliance et confirme un retrait progressif du charbon sans captage, avec un programme réglementaire visant la fermeture de quarante installations et l’évaluation stricte des unités restantes.
La surproduction charbonnière en Indonésie a fait plonger les recettes publiques et les bénéfices des entreprises, tandis que les émissions de méthane issues des mines dépassent largement les chiffres officiels.
Le gouvernement brésilien accorde de nouveaux contrats aux centrales au charbon jusqu’en 2040, illustrant le poids des décisions réglementaires et des intérêts industriels dans un pays majoritairement alimenté par les énergies renouvelables.
New Delhi prépare une feuille de route révisée sur ses engagements climatiques, tout en maintenant sa forte dépendance au charbon pour soutenir sa croissance économique et répondre à une pression réglementaire croissante.
J-POWER annonce la fermeture de la centrale thermique au charbon de Takasago d’ici l’exercice fiscal 2028, marquant un tournant stratégique dans son portefeuille d’investissement énergétique et ses efforts de décarbonation.
Face à une baisse de 11 % des exportations de charbon au premier semestre 2025, l’administration Trump engage $100mn pour moderniser les centrales américaines et soutenir la filière énergétique nationale.
Selon une modélisation, l’Inde n’a pas besoin de nouvelles centrales à charbon au-delà des prévisions actuelles à 2032, sous peine de surcoûts et de sous-utilisation croissante du parc existant.
Le Maroc annonce un objectif de sortie du charbon pour 2040, sous réserve d’un soutien international, tout en accélérant le déploiement des énergies renouvelables dans son mix électrique.
La chute des importations chinoises et le recentrage régional de l’Asie font peser une pression accrue sur les exportateurs australiens de charbon thermique.
Les acheteurs chinois entament les négociations pour les livraisons de charbon thermique en 2026, préférant des contrats plus courts afin de préserver leur flexibilité dans un marché aux prix stables.
Les producteurs de charbon du Queensland peinent à contenir leurs coûts, toujours supérieurs à ceux d’avant 2022, alors que les effets de la hausse des redevances et la pression sur les marges continuent de peser sur le secteur.
Le charbon redeviendra temporairement la principale source d’électricité dans les marchés du Midwest MISO et SPP durant l’hiver, selon les dernières prévisions fédérales.
L’administration Trump prévoit d’ouvrir des millions d’hectares fédéraux au charbon et d’alléger les règles environnementales encadrant cette industrie stratégique.
L’intégration d’opérateurs privés dans le réseau ferroviaire sud-africain marque un tournant pour les exportateurs de charbon, avec un objectif de 55 millions de tonnes exportées en 2025 depuis le port de Richards Bay.
Face aux restrictions occidentales, la Russie prévoit d’accroître ses livraisons de charbon vers la Chine, l’Inde et la Turquie, selon une présentation récente sur les perspectives du secteur.
La visite du président pakistanais chez Shanghai Electric marque une nouvelle étape stratégique dans la coopération énergétique sino-pakistanaise, centrée sur le projet minier et électrique de Thar et le développement de compétences locales.
Les congestions portuaires en Australie ont favorisé une hausse des exportations russes et indonésiennes de charbon vers la Corée du Sud, désormais dominée par ces deux fournisseurs plus compétitifs.
Le producteur public polonais JSW confirme ses objectifs de production à 13,4 millions de tonnes en 2025 grâce à l’activation de nouveaux équipements, malgré des interruptions liées à des incidents sur site.
PTT annonce un accord d'achat de GNL avec Cheniere dans l'objectif de devenir un acteur majeur du secteur du GNL. La société thaïlandaise, achètera 1 million de tonnes de GNL par an à partir de 2026.
En Côte d'Ivoire, Eni annonce une nouvelle découverte de pétrole et de gaz. Le pays, dont les réserves annoncées l'année dernière augmentent de 25%, ambitionne de devenir un producteur de pétrole "important" dès 2023.
Alors que l'hiver approche, l'Autriche s'organise pour remplis ses sites de stockage de gaz. Pour ce faire, elle ne compte plus sur Gazprom mais sur RAG Austria AG qui sera en charge de remplir le centre de stockage de gaz d'Haidach.
Les États-Unis, portés par la forte demande européenne de GNL depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, deviennent les premiers exportateurs de GNL.
En Irak, le champ gazier de Khor Mor a, une fois encore, subit une attaque à la roquette. Celle-ci s'inscrit dans un contexte tendu entre Erbil et Bagdad, mais l'opérateur du champ gazier se veut rassurant. Selon lui, la production reste "normale".
Pour se détourner du gaz russe, l'UE cherche de nouveaux partenaires afin de garantir son approvisionnement en GNL. C'est le cas des États-Unis. Les importations européennes de GNL américain ne cessent d'augmenter.
TotalEnergies annonce commencer l'exploitation d'Ikike, un champ pétrolier offshore situé à 20 km des côtes nigérianes. Grâce à ce projet, l'entreprise française envisage également de réduire ses émissions de carbone.
En proie à une grave crise énergétique, les pays de l'UE cherchent des solutions pour faire face aux difficultés d'approvisionnement. Le charbon semble alors être une solution alors que l'hiver approche. Ainsi, les importations européennes sont en hausse.
Eni a découvert du pétrole et du gaz en Algérie, une trouvaille qui intervient quelques mois après celle de Zemlzt El Arbi. L'introduction d'une fiscalité attractive pour les géants pétroliers et gaziers accroît l'exploitation et par conséquent, les revenus pour le gouvernement.
En Russie, la production des raffineries augmente. Elle est portée par la période estivale et les subventions. Toutefois, un hiver rigoureux et les sanctions européennes pourraient menacer les raffineries russes.
Le Qatar lance la première phase du développement du plus grand champ gazier au monde, qu'il partage avec l'Iran. Pour vous, EnergyNews revient sur les enjeux du North Field East.
Selon Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, les stocks de gaz français sont remplis à 75%. La France espère atteindre les 100% d'ici l'automne.
La Turquie annonce qu'elle relancera les explorations gazières en Méditerrannée à partir du 9 août, ravivant ainsi les tensions avec ses voisins. De fait, la Chypre, la Grèce et la Turquie se disputent les frontières maritimes.
En proie à une très forte instabilité politique, la production de pétrole de Libye est plus que limitée. En juin, elle a chuté à 650.000 b/j. Toutefois, la NOC annonce une augmentation de la production qui atteint les 8609.000 b/j et le pays espère qu'elle continuera de croître.
Au Guyana, le secteur du gaz et du pétrole est en plein essor. La capacité de production du pays devrait augmenter, tout comme les revenus liés aux activités offshore. Cette année, ces derniers dépasseront le milliard de dollars.
Après les dernières annonces de Gazprom concernant Nord Stream, les prix du gaz européen s'envolent. Ils atteignent un nouveau record et entraînent les prix du pétrole.
Gazprom annonce une nouvelle réduction des livraisons de gaz vers l'Europe via Nord Stream. Le gazoduc, essentiel à l'Europe, sera exploité à 20% de sa capacité contre 40% actuellement.
En Algérie, Sonatrach déclare trois nouvelles découvertes de pétrole et de gaz. Cette annonce pourrait s'avérer très bénéfique pour l'Europe qui, à l'image de l'Italie, se tourne vers l'Algérie pour remplacer le gaz russe.