En Égypte, la NREA mise sur les énergies renouvelables. Les capacités des projets d’énergie renouvelable en cours de développement augmentent fortement au troisième trimestre de l’année fiscale 2021-2022. Elles atteignent 3 570 MW. L’Égypte peut compter sur des IDE s’élevant à 3,5 milliards de dollars, soit le double à la même période de 2020.
L’Égypte et la NREA développent les énergies renouvelables
Ainsi, les projets sont mis en œuvre par de très nombreuses compagnies internationales du domaine des énergies renouvelables. La plupart des projets en cours de développement sont des centrales éoliennes (78 %) dans la région du Golfe du Suez, les 22 % restants sont des centrales solaires.
La NREA est sur le point de terminer la construction d’une centrale solaire de 50 MW dans la région de Zafarana, avec un investissement avoisinant les 700 millions de livres égyptiennes. Elle doit entrer en service au troisième trimestre de cette année fiscale.
En outre, un parc éolien d’une capacité de 250 MW est en cours de développement. Il se situe dans la région du Golfe de Suez et doit être opérationnel au cours du second semestre de l’année prochaine.
Selon la NREA, la production hydroélectrique au cours du troisième trimestre de l’exercice 2021-2022 a atteint 2 654 GWh. Les projets éoliens enregistrent 1 133 GWh, 994 GWh pour le solaire et, enfin, 22 GWh pour les projets de biocarburants.
Sur cette même période, cela a permis de réduire les émissions de CO2 d’environ 2,25 millions de tonnes. De surcroît, ces projets permettent d’économiser environ 881 000 tonnes d’équivalent pétrole de carburant.