Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Un haut responsable de l'agence onusienne entame lundi des discussions techniques avec l'Iran, première rencontre depuis les frappes de juin sur les sites nucléaires iraniens.
Un accord de libre-échange entre l’Indonésie et l’Union économique eurasiatique sera signé en décembre, visant une réduction des droits de douane sur 3 milliards USD d’échanges et la croissance du commerce bilatéral dans les prochaines années.
La visite du conseiller à la sécurité nationale indien à Moscou intervient alors que les États-Unis menacent d’augmenter les droits de douane sur New Delhi, en raison des achats soutenus de pétrole russe par l’Inde.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Face aux menaces de sanctions secondaires américaines, les raffineurs indiens ralentissent leurs achats de brut russe tout en explorant des alternatives coûteuses, révélant les défis complexes de la sécurité énergétique.
Les tarifs de 50% poussent Brasília vers une intégration commerciale accélérée avec Pékin et Bruxelles, redessinant les équilibres économiques régionaux.
Washington impose des droits douaniers massifs invoquant la persécution de Bolsonaro tout en exemptant les secteurs stratégiques pour l'industrie américaine.
Les sanctions du 1er août accélèrent la reconfiguration des flux commerciaux indo-pacifiques avec Vietnam, Bangladesh et Indonésie comme principaux bénéficiaires.
Washington déclenche une structure tarifaire inédite combinant 25% de droits fixes et une sanction additionnelle non spécifiée liée aux achats énergétiques et militaires russes.
Le Qatar rejette les obligations de transition climatique de l'UE et brandit la menace d'une réorientation de ses exportations de GNL vers l'Asie, créant un dilemme énergétique majeur.
L’Ouganda mise sur une présence diplomatique à Vienne afin de faciliter la coopération technique et commerciale avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour soutenir ses ambitions dans le nucléaire civil.
Les gouvernements d’Arabie saoudite et de Syrie concluent un partenariat inédit englobant pétrole, gaz, interconnexion électrique et énergies renouvelables, afin de dynamiser leurs échanges et investissements dans le secteur énergétique.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.
Un accord majeur sur les droits de douane, scellé en Écosse, prévoit l’application d’un tarif de 15% sur la majorité des exportations européennes vers les États-Unis, accompagné de vastes engagements d’achats énergétiques et d’investissements croisés entre les deux puissances.
Le Qatar a prévenu qu’il pourrait cesser ses livraisons de gaz naturel liquéfié à l’Union européenne en réaction à la nouvelle directive européenne sur la diligence raisonnable et la transition climatique.
Dans un effort concerté pour lutter contre les changements climatiques, l'Union Européenne et ses membres s'engagent à soutenir financièrement le fonds pour les pays vulnérables.
L'Union européenne intensifie sa lutte contre les tactiques d'évasion des sanctions russes, visant à renforcer le plafonnement des prix du pétrole et à fermer le marché des combustibles fossiles d'origine russe.
Les menaces géopolitiques croissantes pesant sur l'approvisionnement mondial en pétrole et en gaz naturel, associées aux préoccupations concernant le changement climatique d'origine humaine, érodent de plus en plus l'attrait des combustibles fossiles en tant que sources d'énergie fiables et sûres, a déclaré Fatih Birol, le directeur de l'Agence internationale de l'énergie, le 7 novembre.
L'Algérie a décidé de nommer un nouvel ambassadeur en Espagne, mettant ainsi fin à plus de 19 mois de brouille diplomatique due au revirement de Madrid sur le dossier du Sahara occidental.
La COP28 de Dubaï (30 novembre-12 décembre) se profile avec des défis majeurs : réduire les émissions, abandonner les énergies fossiles et mobiliser des milliards pour l'adaptation au changement climatique.
Le Sri Lanka s'apprête à conclure un accord d'investissement avec Sinopec pour la construction d'une raffinerie de pétrole à Hambantota, suite au retrait d'un concurrent.
Le président français Emmanuel Macron appelle à un renforcement du "partenariat stratégique" avec le Kazakhstan, soulignant la vigueur de la relation avec cette nation d'Asie centrale.
Le commissaire européen Wopke Hoekstra affirme que la sortie des énergies fossiles dans l'accord final de la COP28 n'est pas une demande frivole, mais une urgence scientifiquement établie. Il souligne la nécessité de l'action immédiate pour lutter contre le changement climatique.
Le président français, Emmanuel Macron, visite le Kazakhstan et l'Ouzbékistan pour renforcer les relations économiques et politiques dans une région en pleine mutation.
Avec la levée des sanctions sur le pétrole vénézuélien, les acheteurs asiatiques, en particulier la Chine et l'Inde, pourraient faire face à une concurrence accrue pour les cargaisons d'Amérique latine, ce qui pourrait potentiellement les pousser à se tourner vers les sources du Moyen-Orient.
La COP28, 28e édition du sommet climatique international, vise à consolider les efforts mondiaux pour lutter contre le changement climatique. Voici ce qu'il faut en attendre.
Un rapport récent de l'Irena souligne l'urgence d'accélérer le déploiement des énergies renouvelables dans les pays en développement pour atteindre les objectifs climatiques.
Le Guyana annonce une découverte majeure de pétrole dans une région contestée par le Venezuela, déclenchant des réactions internationales et des tensions géopolitiques, avec un différend territorial en cours de règlement.
Le Turkménistan, riche en gaz naturel et désireux de s'imposer comme un acteur majeur de l'approvisionnement énergétique de l'Europe, envisage la construction d'un gazoduc transcaspien malgré les défis géopolitiques.
Une analyse approfondie de la coopération énergétique entre la Russie et la Chine, en particulier le projet de gazoduc Force de Sibérie 2, et ses implications économiques et énergétiques.