Le site aura le potentiel d’alimenter plus de deux millions de foyers. C’est le résultat de cinq années de négociation entre le consortium et les parties prenantes de Caithness et Orkney. Les protocoles d’accord ont pour objectif d’améliorer l’infrastructure portuaire et la compétitivité pour soutenir les projets d’éoliennes offshore à l’avenir.
Un consortium d’experts
Le consortium intègre des entreprises qui ont déjà fait leur preuve dans le domaine de l’énergie éolienne offshore. Pour TotalEnergies, ce projet illustre sa récente orientation stratégique dans le domaine des énergies renouvelables. Pour RIDG, le parc éolien est une priorité depuis 2016.
« Travailler avec des partenaires locaux nous permet de veiller à la création d’emplois durables et à long terme. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la transition vers une économie neutre en carbone. » déclare Edward Northam, directeur de GIG Europe.
Accord exclusif
Un protocole d’accord exclusif a également été signé avec le Centre européen des énergies marines des Orcades (EMEC). Cette coopération doit s’appuyer sur les installations et l’expertise en matière de R&D dans le domaine de l’énergie marine. Pour pouvoir connecter le projet au réseau du National Grid, le consortium a effectué des études d’impacts sur la biosphère.
L’Écosse est aujourd’hui une nation pionnière dans le déploiement de l’énergie renouvelable. La « power house » de l’éolien britannique cultive son expérience des partenariats et de la négociation avec les entreprises du domaine énergétique.