ReconAfrica finalise les préparatifs pour tester le puits Kavango West 1X en Namibie, tout en élargissant son portefeuille en Angola et au Gabon dans le but de renforcer sa présence en Afrique subsaharienne.
Shell a rouvert un processus de cession pour ses 37,5 % dans la raffinerie allemande PCK Schwedt, relançant les négociations interrompues par le conflit russo-ukrainien et les sanctions occidentales.
Aliko Dangote accuse l’autorité pétrolière nigériane de compromettre la viabilité des raffineries locales en facilitant les importations de carburants raffinés, tout en exigeant une enquête pour corruption contre son directeur.
Shell Offshore valide un investissement stratégique pour prolonger la durée de vie du champ Kaikias grâce à une opération de waterflood, avec un début d’injection prévu en 2028 depuis la plateforme Ursa.
Les prix du pétrole chutent face aux progrès des négociations sur l’Ukraine et à l’abondance attendue de l’offre, faisant passer le West Texas Intermediate sous les 55 dollars pour la première fois en près de cinq ans.
Le groupe énergétique américain prévoit d’allouer $1,3bn à la croissance et $1,1bn à la maintenance de ses actifs, avec un accent particulier sur les projets dans le gaz naturel liquéfié et le raffinage.
Le groupe pétrolier public vénézuélien PDVSA affirme avoir été la cible d'une cyberattaque attribuée à des intérêts étrangers, sans impact sur ses opérations principales, dans un contexte de tensions accrues avec les États-Unis.
Le groupe BUTEC a finalisé le financement d’un projet d’urgence énergétique de 50 MW au Burkina Faso, structuré autour d’un contrat BOOT et soutenu par le Groupe Banque Centrale Populaire.
BW Energy a signé un contrat de crédit-bail à long terme avec Minsheng Financial Leasing pour sa plateforme Maromba B, couvrant 274 M$ du CAPEX du projet, sans paiement avant la première production de pétrole.
Shell relancera en avril 2026 une nouvelle phase d’exploration offshore sur le bloc PEL 39 en Namibie, avec un programme de cinq puits ciblant des zones déjà découvertes, malgré une dépréciation récente de $400mn.
Les autorités iraniennes ont intercepté un navire suspecté de contrebande de carburant au large de la mer d’Oman, avec 18 marins originaires d’Asie du Sud à son bord, selon des sources officielles.
Harbour Energy rachètera les actifs en mer du Nord de Waldorf Energy Partners pour $170mn, renforçant ses parts dans les champs Catcher et Kraken, tandis que Capricorn Energy solde une partie de ses créances.
La vente Big Beautiful Gulf 1 a attiré plus de $300mn d'investissements, avec une stratégie concentrée sur des blocs à haut rendement menée par BP, Chevron et Woodside.
Les États-Unis ont intercepté un pétrolier chargé de brut vénézuélien et imposé de nouvelles sanctions à des entités maritimes, accentuant la pression sur le régime de Nicolas Maduro et ses réseaux commerciaux dans les Caraïbes.
L’OPEP prévoit que la demande en brut de ses membres atteindra 43 millions de barils par jour en 2026, un niveau très proche de la production actuelle du groupe OPEP+, contrastant avec les estimations d’excédent massif avancées par d’autres institutions.
Les États-Unis ont arraisonné un navire soupçonné de transporter du pétrole sanctionné en provenance d’Iran et du Venezuela, provoquant une vive réaction du gouvernement de Nicolás Maduro.
L’Agence internationale de l’énergie révise à la baisse ses prévisions d’offre pétrolière mondiale pour 2026, tout en rehaussant légèrement la croissance de la demande grâce à un climat macroéconomique plus favorable.
Les autorités du Soudan du Sud ont obtenu la responsabilité de la sécurité du champ pétrolier de Heglig, un site stratégique frontalier, à la suite d’un accord conclu avec les deux forces belligérantes du conflit au Soudan.
TotalEnergies acquiert une participation opérée de 40 % dans le permis offshore PEL83, marquant une avancée stratégique en Namibie avec le champ pétrolier Mopane, tandis que Galp obtient des parts dans deux autres blocs prometteurs.
BOURBON va fournir des services maritimes à ExxonMobil Guyana pendant cinq ans à partir de 2026, marquant une étape clé dans le développement logistique du bassin offshore guyanais.