Un groupe international de chercheurs anticipe désormais un pic des émissions chinoises d’ici 2028, malgré des signaux récents de ralentissement, renforçant l’incertitude sur le rythme de transition énergétique du pays.
La fin des subventions et la hausse spectaculaire des prix de l’électricité en Syrie aggravent la précarité et provoquent un mécontentement croissant, dans un pays en reconstruction après plus d’une décennie de guerre.
Les trajectoires actuelles d’émissions placent la planète sur une courbe de réchauffement de 2,3°C à 2,5°C, selon les derniers calculs des Nations unies, à quelques jours de l’ouverture de la COP30 à Belem.
Le gouvernement australien prévoit d’introduire une offre d’électricité gratuite via le solaire dans plusieurs régions dès juillet 2026, afin d’optimiser la gestion du réseau électrique pendant les pics de production.
L’Inde met en œuvre de nouvelles réformes pour intégrer efficacement les énergies renouvelables dans le réseau national, avec un focus sur les projets de stockage et l’amélioration des contrats.
La Chine a ajouté un record de 264 GW en éolien et solaire au premier semestre 2025, mais l'introduction d'un mécanisme de tarification compétitif pour les projets futurs pourrait exercer des pressions sur les prix et affecter la rentabilité des développeurs.
Le gouvernement a confirmé que la vente majoritaire d’Exaion par EDF au groupe Mara sera soumise à la procédure de contrôle des investissements étrangers, avec une réponse attendue d’ici fin décembre.
À une semaine de la COP30, Brasilia annonce une chute inédite des émissions brutes de gaz à effet de serre, portée par la réduction de la déforestation et une dynamique sectorielle inégale, sur fond d’exploration pétrolière offshore controversée.
Le projet d’électrification de Catabola, livré par Mitrelli, marque la première connexion au réseau national pour plusieurs communautés de la province de Bié.
Le gouvernement algérien prévoit une mise à niveau complète du dispositif SCADA, géré par Sonelgaz, afin d’améliorer la maîtrise et la supervision du réseau électrique national à partir de 2026.
Face à des pertes annuelles estimées jusqu’à 66 millions USD, la SEEG intensifie ses contrôles et prépare le déploiement de compteurs intelligents pour freiner les branchements illégaux.
Le gouvernement britannique confirme ses ambitions de décarbonation du secteur électrique d’ici 2030, malgré les critiques politiques et les inquiétudes sur le coût de l’énergie pour les consommateurs.
Enedis prévoit un investissement de €250mn ($264mn) pour renforcer la résilience du réseau électrique de Marseille d’ici 2030, incluant la suppression totale des câbles papier imprégné et le soutien à l’électrification du port.
Les ministres de l’Énergie coordonnent investissements et traçabilité afin de réduire la domination chinoise dans le raffinage des minéraux critiques et stabiliser des chaînes d’approvisionnement clés pour l’électronique, la défense et l’énergie, sous un cadre commun porté par les membres du G7.
La demande électrique, amplifiée par l’essor de l’intelligence artificielle, dépasse les prévisions et rend inatteignable la neutralité carbone à 2050, selon les nouvelles projections du cabinet Wood Mackenzie.
Le fonds souverain de la Norvège a généré un bénéfice de €88 milliards au troisième trimestre, en grande partie grâce aux performances boursières de ses investissements dans les matières premières, les télécommunications et la finance.
Le régulateur allemand prépare une réforme favorable aux opérateurs de réseaux, visant à ajuster les rendements et les règles d'efficacité dès 2028 pour les gazoducs et 2029 pour les réseaux électriques.
Bill Gates exhorte gouvernements et investisseurs à privilégier l’adaptation aux effets du réchauffement, plaidant pour un financement accru de la santé et du développement dans les pays vulnérables.
Le gouvernement malaisien prévoit d’accroître les investissements publics dans le gaz naturel et l’énergie solaire afin de réduire la part du charbon, tout en assurant la stabilité des coûts énergétiques pour les ménages et les entreprises du pays.
L’étude de Özlem Onaran et Cem Oyvat met en lumière les limites structurelles du financement climatique public, soulignant la nécessité d’un alignement plus étroit avec les objectifs sociaux et économiques pour renforcer l’efficacité et la résilience des dépenses publiques.