Aker Solutions, avec l’aide de Siemens Energy, dispose désormais d’un préavis limité de Vattenfall afin de réaliser un projet éolien. Le projet d’éolien offshore Norfolk Boreas se situe au large du Royaume-Uni.
La mise en œuvre du projet éolien
Aker Solutions et Siemens Energy entendent fournir ensemble l’infrastructure complète de raccordement au réseau du parc. Cela inclut l’ingénierie, l’approvisionnement, la construction et enfin de multiples installations. Ces installations concernent la plate-forme offshore à courant continue haute tension, le poste terrestre et le raccordement au réseau national.
Sur le plan des formalités, le projet dépend d’approbations réglementaires. La décision finale d’investissement arrivera probablement au deuxième trimestre de l’année 2023. Aker Solutions présentera les avancées du projet afin de motiver cette décision d’investissement.
Le projet Aker Solution
L’entreprise se réjouit de cette avancée et affirme sa volonté de collaborer avec Siemens Energy. Kenneth Simonsen, vice-président senior de l’éolien offshore chez Aker Solutions déclare:
« Le développement de la zone éolienne offshore de Norfolk pourrait nécessiter jusqu’à trois plates-formes HVDC successives […] Avec Siemens Energy, nous sommes fiers de soutenir un projet qui répond au double objectif de développer un contenu local tout en fournissant de l’électricité verte à faible coût aux foyers et aux entreprises à travers le Royaume-Uni. »
Helene Biström responsable du secteur éolien chez Vattenfall souligne:
« Les communautés locales et les entreprises seront en mesure de tirer parti des opportunités dans la chaîne d’approvisionnement pour contribuer à la mise en œuvre de l’une des plus grandes zones éoliennes offshore au monde. »
Le parc se situe à plus de 47 kilomètres de la côte de Norfolk et disposera d’une capacité de 1,4GW. La zone fournira une part très importante de l’énergie au milieu ou à la fin des années 2020. La zone produira de l’électricité renouvelable pour alimenter 4 millions de foyers et permettra d’économiser 6 millions de tonnes de CO².