Vaalco Energy a démarré le forage du puits ET-15 sur la plateforme Etame, marquant le début de la phase trois de son programme de développement offshore au Gabon, soutenu par un contrat avec Borr Drilling.
L’attaque contre une infrastructure clé du Caspian Pipeline Consortium en mer Noire réduit de moitié les exportations kazakhes de brut, exposant les majors pétrolières et reconfigurant les équilibres énergétiques régionaux.
L’Irak prépare une transition encadrée sur le champ pétrolier de West Qurna-2, après les sanctions américaines contre Lukoil, en privilégiant un transfert vers des acteurs jugés fiables par Washington, dont ExxonMobil.
Les Forces de soutien rapide ont pris Heglig, le plus grand site pétrolier du Soudan, provoquant l'arrêt de la production et accentuant les risques sur les flux régionaux d’exportation de brut.
Le coût de réhabilitation de la Sonara, unique raffinerie du Cameroun, atteint désormais 300 milliards FCFA, soit 533 millions USD, alors que plusieurs banques internationales manifestent un intérêt croissant pour son financement.
La Chine a importé 12,38 millions de barils par jour en novembre, un niveau inédit depuis août 2023, soutenu par des marges de raffinage plus élevées et l’anticipation de quotas pour 2026.
Les États-Unis ont réaffirmé leur engagement militaire aux côtés du Guyana, verrouillant ainsi l’accès sécurisé à une production pétrolière en forte croissance dans un contexte de tensions frontalières persistantes avec le Venezuela.
New Delhi et Moscou renforcent leur corridor énergétique malgré les pressions tarifaires et réglementaires américaines, maintenant des flux pétroliers soutenus par des mécanismes logistiques et financiers alternatifs.
Le tanker sanctionné Kairos, abandonné après une attaque de drones ukrainiens, s’est échoué près des côtes bulgares, soulignant les risques opérationnels et juridiques croissants liés à la flotte fantôme russe opérant en mer Noire.
Les États-Unis maintiennent sous licence temporaire les opérations de Lukoil hors de Russie, empêchant tout flux vers Moscou et encadrant la cession d’un portefeuille estimé à 22 Md$, sans rupture d’approvisionnement pour les pays alliés.
La compagnie pétrolière libyenne NOC prévoit de lancer début 2026 une ronde d’octroi de licences sur une vingtaine de blocs, alors que les enjeux politiques, juridiques et commerciaux exacerbent les risques pour les investisseurs internationaux.
Les États-Unis ancrent leur présence énergétique en Méditerranée orientale, en consolidant un corridor gazier via la Grèce vers l’Europe centrale, au détriment des flux russes et de l’influence logistique chinoise sur le port du Pirée.
Paris et Pékin s’accordent sur la création d’un groupe de travail bilatéral climat, centré sur les technologies nucléaires, les énergies renouvelables et le maritime, dans un contexte de tensions commerciales croissantes entre la Chine et l’Union européenne.
Les sanctions européennes contre la Russie et les arrêts de raffineries au Moyen-Orient ont fortement réduit l’offre mondiale de diesel, faisant grimper les marges de raffinage sur les principaux marchés.
Les cours du brut ont progressé, portés par des frappes ukrainiennes sur des infrastructures russes et l'absence d’avancée diplomatique entre Moscou et Washington dans le conflit en Ukraine.
Ankara prévoit d’investir dans la production de gaz aux États-Unis afin de sécuriser son approvisionnement en GNL et de devenir un fournisseur clé pour le sud de l’Europe, selon le ministre turc de l’Énergie.
Chevron a communiqué une enveloppe d’investissement comprise entre $18 et $19 milliards pour 2026, en mettant l’accent sur ses activités pétrolières amont aux États-Unis et des projets offshore internationaux à fort potentiel.
Trois navires russes visés au large de la Turquie ravivent les inquiétudes d’Ankara quant à la sécurité de l’approvisionnement gazier et pétrolier en mer Noire, ainsi que la vulnérabilité de ses infrastructures sous-marines.
ExxonMobil arrête son plus ancien vapocraqueur à éthylène à Singapour, réduisant sa capacité locale pour investir dans son complexe intégré de Huizhou, en Chine, sur fond de surcapacité régionale et de coûts opérationnels en hausse.
Le Brésil, la Guyane, le Suriname et l’Argentine devraient alimenter une part croissante de l’offre pétrolière non-OPEP+, soutenus par des investissements offshore massifs et une dynamique d’exploration continue.
TotalEnergies réorganise sa participation dans les permis offshore PPL 2000 et PPL 2001 en intégrant Chevron à 40 %, tout en conservant son rôle d’opérateur, dans le cadre d’un recentrage de son portefeuille deepwater au Nigeria.
Les gouvernements européens souhaitent intégrer des clauses de sauvegarde et un mécanisme de révision dans l'accord commercial conclu avec Washington afin de limiter les risques d’un afflux de produits américains sur leur marché.
Aker Solutions a signé un contrat-cadre de six ans avec ConocoPhillips pour des services de maintenance et modification sur les champs offshore Eldfisk et Ekofisk, avec une option de prolongation de six ans.
Les autorités iraniennes ont intercepté un navire transportant 350 000 litres de carburant dans le golfe Persique, renforçant leur contrôle sur les routes maritimes stratégiques dans la région du détroit d'Ormuz.
North Atlantic France finalise l’acquisition d’Esso S.A.F. pour un montant fixé par action et officialise le changement de nom en North Atlantic Energies, marquant une étape clé dans la réorganisation de ses activités en France.
L’armateur grec Imperial Petroleum a sécurisé $60mn dans le cadre d’un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels, afin de renforcer sa trésorerie pour ses besoins opérationnels généraux.
Ecopetrol projette entre $5.57bn et $6.84bn d’investissements pour 2026, visant à maintenir sa production, optimiser ses infrastructures et garantir sa rentabilité malgré un marché du brut modéré.
Face au risque de sur-offre et aux sanctions russes, l’OPEP+ stabilise ses volumes tout en préparant une redistribution structurelle des quotas à l’horizon 2027, renforçant les tensions entre producteurs à capacités inégales.
Le Royaume-Uni transforme sa taxe exceptionnelle en un mécanisme prix permanent, maintenant une pression fiscale parmi les plus élevées au monde, et redessine en profondeur l’attractivité du plateau continental britannique pour les acteurs pétroliers.
Le Pakistan confirme sa sortie du fuel oil domestique avec plus de 1,4 Mt exportées en 2025, transformant ses raffineries en plateformes d’export, au moment où l’Asie fait face à un excédent structurel de fuel lourd et faiblement soufré.
Le turc Aksa Enerji a signé un contrat de 20 ans avec Sonabel pour la mise en service d’une centrale thermique à Ouagadougou, visant à renforcer l’approvisionnement énergétique du Burkina Faso d’ici fin 2026.
Le champ gazier de Khor Mor, opéré par Pearl Petroleum, a été frappé par un drone armé, interrompant la production et provoquant des coupures d’électricité touchant 80 % de la capacité énergétique du Kurdistan irakien.
Le Caspian Pipeline Consortium a repris les chargements à Novorossiisk après une attaque ukrainienne, mais les tensions géopolitiques sur les flux pétroliers kazakhs persistent autour de ce corridor stratégique de la mer Noire.
La Hongrie augmente ses exportations de produits pétroliers vers la Serbie pour compenser l’arrêt imminent de la raffinerie NIS, menacée par les sanctions américaines visant sa majorité russe.
Global South Utilities investit 1 milliard $ dans de nouveaux projets solaires, éoliens et de stockage pour renforcer les capacités énergétiques du Yémen et étendre son influence dans la région.
Face à une production pétrolière en baisse, Pemex augmente le raffinage local grâce à Olmeca, en visant une réduction des importations de carburants et une meilleure utilisation de ses capacités industrielles sous contrainte budgétaire.
La société pétrolière publique brésilienne abaissera ses dépenses d’investissement de 2 %, impactée par le recul des cours du brut, marquant ainsi un tournant stratégique sous le mandat de Lula.
TotalEnergies a finalisé la vente de sa participation de 12,5 % dans le champ pétrolier offshore Bonga au Nigeria, pour un montant de $510mn, renforçant la présence de Shell et Eni dans ce site stratégique de production en eaux profondes.
British International Investment et FirstRand s’allient pour financer la décarbonation des entreprises africaines, à travers une facilité ciblée sur le soutien aux secteurs les plus émetteurs de carbone.
La Serbie prépare une modification de loi budgétaire visant à permettre la prise de contrôle de NIS, raffinerie sous sanctions américaines et détenue par des groupes russes, afin d'éviter une paralysie énergétique imminente.