Les ouragans Beryl, Helene et Milton ont représenté 80 % des coupures d’électricité enregistrées en 2024, un pic inédit en dix ans selon les données fédérales.
Les cours du brut ont enregistré une hausse portée par les tensions croissantes entre les États-Unis et le Venezuela, et des attaques ayant visé une infrastructure pétrolière russe en mer Noire.
Face à des pertes financières persistantes, Tullow Oil restructure sa gouvernance et accélère ses démarches pour alléger une dette de plus de 1,8 milliard USD, tout en recentrant ses activités sur le Ghana.
La Commission de régulation de l’énergie introduit un contrôle prudentiel temporaire sur les fournisseurs de gaz et d’électricité, via un « guichet à blanc » ouvert dès décembre, en attendant la transposition des règles européennes.
Le gouvernement irakien invite des compagnies pétrolières américaines à soumissionner pour prendre le contrôle du champ géant de West Qurna 2, précédemment exploité par le groupe russe Lukoil, désormais visé par des sanctions américaines.
Deux pétroliers sous pavillon gambien ont été attaqués en mer Noire près des côtes turques, provoquant une réaction ferme du président Recep Tayyip Erdogan sur les risques croissants pour le transport énergétique régional.
Le producteur britannique poursuit sa réduction d’effectifs en mer du Nord, invoquant un régime fiscal jugé dissuasif et une réorientation stratégique vers des pays offrant une stabilité réglementaire jugée plus favorable.
La raffinerie de Dangote affirme pouvoir répondre seule à la demande nationale d’essence dès décembre, tout en demandant au régulateur un soutien logistique, fiscal et douanier pour maintenir ses livraisons.
BP a réactivé l’oléoduc Olympic, clé pour l’approvisionnement en carburants du Nord-Ouest des États-Unis, après une fuite ayant conduit à l’arrêt complet du système et à la déclaration d’états d’urgence en Oregon et dans l’État de Washington.
Le président Donald Trump a confirmé un contact direct avec Nicolas Maduro alors que les tensions s'aggravent, Caracas dénonçant une opération américaine en préparation visant ses ressources pétrolières.
Zenith Energy affirme que les autorités tunisiennes ont procédé à la vente non autorisée de pétrole brut stocké, aggravant un différend commercial de longue date sur ses concessions Robbana et El Bibane.
TotalEnergies réorganise sa participation dans les permis offshore PPL 2000 et PPL 2001 en intégrant Chevron à 40 %, tout en conservant son rôle d’opérateur, dans le cadre d’un recentrage de son portefeuille deepwater au Nigeria.
Les gouvernements européens souhaitent intégrer des clauses de sauvegarde et un mécanisme de révision dans l'accord commercial conclu avec Washington afin de limiter les risques d’un afflux de produits américains sur leur marché.
Aker Solutions a signé un contrat-cadre de six ans avec ConocoPhillips pour des services de maintenance et modification sur les champs offshore Eldfisk et Ekofisk, avec une option de prolongation de six ans.
Les autorités iraniennes ont intercepté un navire transportant 350 000 litres de carburant dans le golfe Persique, renforçant leur contrôle sur les routes maritimes stratégiques dans la région du détroit d'Ormuz.
North Atlantic France finalise l’acquisition d’Esso S.A.F. pour un montant fixé par action et officialise le changement de nom en North Atlantic Energies, marquant une étape clé dans la réorganisation de ses activités en France.
L’armateur grec Imperial Petroleum a sécurisé $60mn dans le cadre d’un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels, afin de renforcer sa trésorerie pour ses besoins opérationnels généraux.
Ecopetrol projette entre $5.57bn et $6.84bn d’investissements pour 2026, visant à maintenir sa production, optimiser ses infrastructures et garantir sa rentabilité malgré un marché du brut modéré.
L’accord Carney–Smith lance un nouvel oléoduc vers l’Asie, supprime les plafonds d’émissions pétrogazières et amorce une réforme de la loi interdisant les tankers sur la côte nord du Pacifique.
La sortie progressive des contrats CfD transforme des actifs stables en infrastructures exposées à une volatilité accrue, remettant en cause les rendements attendus et les modèles de financement traditionnels du secteur renouvelable.
La raffinerie nigériane de Dangote sélectionne l’américain Honeywell pour fournir les technologies permettant de doubler sa capacité de traitement de brut et d’étendre sa production pétrochimique.
L’Irak sécurise sa production en contournant les sanctions américaines via paiements locaux, trocs énergie-énergie et suspension ciblée des flux financiers vers Lukoil pour protéger les exportations de West Qurna-2.
Le redémarrage de la conduite de 16 pouces d’Olympic Pipeline ne suffit pas à rétablir l’approvisionnement normal de l’Oregon et de l’aéroport de Seattle-Tacoma, toujours exposés à un risque logistique accru et à des tensions sur les prix.
Face aux sanctions renforcées des États-Unis et de l’Union européenne, les raffineurs indiens réduisent drastiquement leurs achats de brut russe à partir de décembre, selon des sources du secteur.
Dans sa dernière revue, l’Agence internationale de l’énergie alerte sur les blocages structurels du marché sud-coréen de l’électricité, appelant à des réformes urgentes pour combler le retard sur les renouvelables et réduire la dépendance aux combustibles fossiles importés.
Moscou affirme vouloir accroître ses exportations de pétrole et de gaz naturel liquéfié vers Pékin, tout en consolidant la coopération bilatérale dans un contexte de restrictions américaines visant les producteurs russes.
La capacité de production électrique de la Chine a enregistré une forte croissance en octobre, portée par l’expansion continue du solaire et de l’éolien, selon les données officielles de l’administration nationale de l’énergie.
La seule raffinerie de Serbie, opérée par NIS, pourrait être contrainte de stopper sa production dès cette semaine, fragilisée par les sanctions américaines visant ses actionnaires russes.
La Banque européenne d’investissement mobilise 2 Mds€ de financements garantis par la Commission européenne pour des projets énergétiques en Afrique, avec un objectif stratégique inscrit dans la diplomatie énergétique de l’Union européenne.
La Russie subit une baisse structurelle de ses revenus énergétiques alors que les sanctions renforcées contre Rosneft et Lukoil fragilisent les flux commerciaux et aggravent le déficit budgétaire fédéral.
Le programme offshore 2026-2031 propose d’ouvrir plus d’un milliard d’acres à l’exploration pétrolière, déclenchant une bataille réglementaire entre Washington, les États côtiers et les groupes juridiques spécialisés.
La production attribuée à Glencore au Cameroun a reculé de 31 % sur neuf mois, révélant une pression accrue sur les recettes publiques alors que Yaoundé révise ses prévisions pétrolières et budgétaires dans un contexte de maturité des champs et d’arbitrages d’investissement.
Washington impose de nouvelles sanctions ciblant navires, armateurs et intermédiaires en Asie, rendant plus risqué le commerce de pétrole iranien et redéfinissant le périmètre de conformité maritime dans la région.
Le gouvernement du Mozambique regroupe ses actifs de transport et de regazéification gazière dans un véhicule public, consolidant l’axe stratégique Beira–Rompco pour soutenir les projets Rovuma et répondre à la dépendance sud-africaine.
La rentabilité des stratégies de suivi de positionnement spéculatif sur le Brent s’érode, au profit d’approches contrariennes ciblant les extrêmes de sentiment, marquant un changement de régime significatif dans le trading pétrolier.
Le gestionnaire britannique NESO engage un processus de consultation pour définir la méthodologie de onze futurs plans stratégiques régionaux destinés à coordonner les besoins énergétiques en Angleterre, en Écosse et au pays de Galles.
La licence OFAC sur Paks II permet de contourner les sanctions contre Rosatom en échange d’un ancrage technologique américain, reconfigurant l’équilibre d’intérêts entre Moscou, Budapest et Washington.
Finlande, Estonie, Hongrie et Tchéquie multiplient les initiatives bilatérales en Afrique pour capter des projets énergétiques et miniers stratégiques dans le cadre du programme européen Global Gateway.
La conférence de Belém acte un compromis entre adaptation budgétairement encadrée, retrait des ambitions sur les fossiles et ouverture d’un dialogue climat–commerce susceptible de déclencher de nouveaux contentieux réglementaires.
La Banque asiatique de développement et le Kirghizistan ont conclu un accord de financement pour renforcer les infrastructures énergétiques, la résilience climatique et la connectivité régionale, avec plus de 700 mn $ engagés jusqu’en 2027.